L'amer de Puteaux

Publié le par Dia

[De notre baioné spécial]

Diaa, le post de ce matin était prémonitoire…

Je me suis pointé au Tribunal une heure avant avec mon petit pique-nique bien frais (concombre, œuf, tomate, riz, yaourt, banane). J’étais tout seul. Vers 13H15 sont arrivés les caméras, les journalistes, les avocat(e)s, les policiers et des lecteurs de Libération. Nous sommes tous entrés dans la salle d’audience à l’heure prévue. Après un petit renvoi de plaidoierie sur une affaire de diffamation portant sur la rédaction du bouquin d’Executive Life, nous étions tous à nos stylos. Et là… Le bide ! Le tribunal nous a raconté qu’après un « relais » du 15/03 puis un autre du 14/06, il avait dû recevoir « au dernier moment, seulement 10 jours avant », alors que la partie connaissait l’agenda il y a six mois, ce qu’il trouvait « hautement regrettable », une fin de non plaider de la part des avocats de la Mairie de Puteaux pour cause de procès Schuller-Balkany ! Excellent, non ? En gros, impossible pour la Mairie de Puteaux d’envoyer quelqu’un d’autre à la place de la star du barreau (Me Fedida) déjà sollicitée (27 000 € aux frais des contribuables putéoliens).

 

 

Bilan, le Tribunal a semblé un peu énervé et a été contraint de renvoyer la plaidoierie (et témoins à reciter, donc re-tunes à débourser pour Christophe) au vendredi 3 février 2006 avec relais les 16/09 et 16/12 prochains. De quoi laisser Christophe Grébert très amer… Et ce n’est sûrement pas cet épisode qui recrédibilisera la majorité municipale.

[voir le blog de Christophe Grébert]

Publié dans Blogosphère

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N
Pas grave, on se retrouvera le 3 février 2006 !
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