Dîner de pas cons
Poêlée de chipirons sauvages, hier soir, en compagnie de la descendante du Général Lee (qui parle un français parfait) et de deux descendant(e)s de ce bon vieux Nizan (qui avaient pour l'occasion laissé le stylo dans la poche) : la Sécession est bien lointaine mais l'Union est encore à l'esprit d'autant que les héritiers fricotent ensemble ! Sartre nous sifflait dans les oreilles.
[Ai tenté de les convaincre de m'accompagner à Jean Dauger voir l'Aviron, mais ils sont plus branchés par une virée aux Cavaliers...]